Dans le cadre de la gestion de trésorerie d’une entreprise, il existe trois solutions pour faire tourner ses excédents : le compte épargne, le certificat de dépôts négociable et le dépôt à terme. Un dépôt à terme est une modalité de placement qui consiste à bloquer une somme particulière sur un compte bancaire. Il peut s’avérer très avantageux pour la finance d’une société. Mais qu’en est-il de sa rentabilité par rapport aux autres options ?
Un placement sans risque
Dans toutes les circonstances, le dépôt à terme ne prend pas en compte les fluctuations des marchés financiers. C’est-à-dire que le capital reste fixe jusqu’à la date du remboursement. Il s’agit également d’un placement non modulable, excluant toute possibilité d’alimentation. Par contre, une demande de résiliation peut coûter un peu cher. L’édito de l’Entreprise certifie encore que les taux d’intérêt sont simplifiés pour ce placement. Par ailleurs, la durée de placement est connue au préalable sur un intervalle de 1 à 120 mois (10 ans). Aucune minoration de compte n’est enregistrée dans tout le contrat.
Des excellentes conditions de rémunération
Tout l’intérêt du placement se base sur l’indice de gain. Plus la durée du contrat est allongée, plus la rémunération est importante. En plus, la somme proposée est nettement élevée par rapport à celle d’un livret d’épargne. Généralement, les taux ne sont pas indexés. Dans ce sens, l’entreprise pourrait profiter d’avoir une majoration importante du montant de la rémunération. Malgré tout, la société doit toujours tenter de négocier la valeur du gain même pour un placement de courte durée. Avec un dépôt à terme progressif, le placeur peut bénéficier d’un mode de versement périodique pour recevoir les intérêts en mensualités ou en trimestrialités.
Ajouter un commentaire